Apprentissage utiles pour bien éduquer votre chien
La propreté : L’apprentissage de la propreté est souvent un vrai chemin de croix pour certains propriétaires de chiots. Certains chiens apprennent très vite, d’autres sont plus réticents. Les premières expériences du chiot sont primordiales en la matière. Dès l’acquisition, vers l’âge de deux mois, il faut s’atteler à apprendre la propreté à votre chiot. En entrant dans un nouveau domaine vital, le chiot ne connaît rien de ses interdits et obligations. Il cherche à faire ses besoins au moment où il en ressent l’envie, n’oublier pas que le chiot vit dans un monde humain et avec ses règles. En aucun cas, signifier au chien qu’il peut faire à l’intérieur par l’intermédiaire d’une alèse, un journal, ou un tapis de propreté (qu’on devrait plutôt appeler un tapis de malpropreté). Ces objets qui semblent pratiques constituent des renforcements puissants pour ancrer les éliminations à l’intérieur de l’habitation, et retarder l’apprentissage dehors. Ne pas attendre la fin des vaccinations pour commencer à sortir le chien. Il n’existe aucune justification scientifique à une telle recommandation qui s’avère désuète et nuisible car elle retarde cet apprentissage. Éviter les endroits trop bruyants et de distractions. L’éducation du chien doit ce faire le plutôt possible.
La marche en laisse : Cet apprentissage est indispensable : on voit trop de gens en situation dangereuse pour eux et leur chien lorsqu’il tire comme un fou et les ferait tomber au sol. Pour apprendre la marche en laisse, il est nécessaire d’associer une émotion agréable aux sorties. Si le chien a peur de sortir dans la rue, l’apprentissage de la marche en laisse s’en trouve biaisée. Il convient d’habituer le chien au port du collier et d’une laisse appropriée avant les premières sorties. Les mauvais outils sont les laisses enrouleuses, qui n’envoient aucune information lisible au chien, et les colliers inadaptés, trop lourds, trop grands, ou trop serrés. On peut utiliser un coller plat en nylon à boucle, qui permet une meilleure sécurité que les colliers à clips. Il convient de bien faire son choix en fonction du format du chien ou chiot. Le harnais ne permet pas une réceptivité importante des informations tactiles, et donne des mauvais comportements et donne des liaisons et dommages articulaires, le harnais et conçu pour la traction donc le travail et non pour nos chiens des villes. Pour la laisse c’est pareil, une laisse adaptée est primordiale donc une laisse en nylon entre 1.50 à 2 mètres est idéale, cela permet de laisser le chien en laisse d’explorer son environnement par l’allongement possible de la laisse, toujours une marche en laisse détendu, agréable et positif pour le chien et surtout le chiot. La laisse est un outil de sécurité en ville. Une éducation de son chien et de son chiot doit être appris de la bonne manière et le plutôt possible.
Le rappel : Le rappel est souvent le parent pauvre des apprentissages. Le chien est vite taxé de têtu (il n’écoute pas !) alors que bien souvent des erreurs simples mais fatales ont été produites par le maître par manque de compréhension des réponses du chien et manque de patience. Cet apprentissage doit être le premier à être en place parce qu’il est automatique dès l’instant que le chien ou le chiot, qu’il commence à construire un lien affectif solide avec sa famille. Le chiot est doué de curiosité et de motivation au jeu, ce qui doit être mis à profit immédiatement. Il faut profiter de cet apprentissage pour lui apprendre son nom. Un apprentissage qui demande de la patience et motivation, plusieurs manières peut être mis en place pour la réussite de votre chiot.
Le assis : Le assis est un apprentissage indispensable que l’on devrait apprendre à tout chien dès son plus jeune âge. Car cela permet de mettre un chien au calme, sous contrôle surtout quant ils sont chiots. C’est la première posture à apprendre à son chien, comme une formule de politesse. On peut l’utiliser pour éviter, qu’il saute sur les invités, il ne s’élance plus sur le facteur, il ne fonce plus sur ses congénères. Il n’est plus l’animal fougueux, incontrôlable que l’on doit retenir de force par le collier ou être obliger de l’enfermer dans une pièce. C’est un apprentissage qui est très utile pour des situations multiples. L’apprentissage doit être par incitation douce puis renforcement du comportement par une caresse.
Le couché : L’apprentissage du couché tient des mêmes principes que celui du assis. Il faut construire une association entre la mise en position couché et le mot couché, puis une deuxième association entre la réponse couchée au mot prononcé et une conséquence agréable. Faire coucher un chien peut servir n’importe où, pas seulement pour l’envoyer à son panier, mais en différentes circonstances, soins, manipulations, ou pour l’empêcher de sauter sur les gens ou bondir vers quelqu’un. Ce sont des apprentissages qui doivent pouvoir être efficaces en toute circonstance.
La tenue de place : Il s’agit d’apprendre au chien à s’immobiliser en position assis, couché ou en position debout, sans bouger, même lorsque le maître s’éloigne. Cet apprentissage est très utile pour apprendre ensuite au chien à ne pas être trop dépendant de la proximité du maître. La tenue de place nécessite que le chien ait appris préalablement les ordres assis, ou couché. On apprend ainsi au chien à s’immobiliser quoi qu’il arrive dans son environnement, et à canaliser ses comportements et sa fougue naturelle. C’est un excellent exercice pour stimuler le contrôle moteur et limiter l’impulsivité.
La promenade avec un suivi du chien sans laisse : Comme pour le rappel, le suivi naturel est facile avec un jeune chiot qui va suivre naturellement son maître. Il faut avoir nouer un lien de confiance et une familiarisation solide. Dehors, le chiot s’intéresse à tout autre chose que son maître. Au maître d’être plus attractif que l’environnement. Il faut donc commencer dans un lieu peu attrayant. L’erreur est de vouloir le rappeler sans cesse. Le chien flaire et explore autour de lui. Ne pas l’appeler. C’est à lui à ne pas perdre son maître. Bien sûr, il vaut mieux garder un œil sur lui. Pour sa sécurité, on peut lui accrocher une longe de 10 à 15 mètres qui lui donnera l’illusion d’être sans laisse. Le chien doit être plus attiré par la proximité du maître que par une odeur qui l’entrainerait loin de vous et le mettre éventuellement en danger. Il existe plusieurs outils et méthodes pour avoir une promenade en toute sécurité et agréable en harmonie avec sa nature canine.
Le rapport d’objets : Le rapport d’objets s’inscrit dans un cadre ludique. Il faut profiter de l’intérêt pour le jeu et de la curiosité d’un chiot pour lui apprendre à rapporter par exemple sa balle. Par ailleurs, lui apprendre à rapporter et à lâcher l’objet devant vous va stimuler son contrôle moteur par le maintien d’une attention particulière portée au maître et à sa réponse qui est de relancer la balle ou objet. Il s’agit d’un apprentissage complexe car plusieurs ordres sont donnés successivement : d’abord « rapport » quant on lance la balle, puis « lâche » quand le chien revient avec la balle, puis relancer la balle etc. Mais, attention que ce jeu ne devienne pas une obsession du chien et de perdre le contrôle, ou que le chien ne vous rend pas la balle, pour que vous le courait après, il faut rompre le jeu.
L’envoi du chien à son couchage : Il est nécessaire de pouvoir écarter le chien des activités humaines, lorsque l’on a des invités par exemple ou tout simplement pour être tranquille. Mettre le chien à distance ne consiste pas à l’enfermer dans une pièce. Une porte fermée n’est pas un interdit, c’est une solution matérielle à un problème humain. Par ailleurs, le chien doit acquérir une autonomie d’action et de motivation et s’affranchir de l’ombre de son maître. Il est indispensable de pouvoir le renvoyer à une certaine distance de soi, mais où ? Le chien possède un lieu de couchage qui est une zone d’apaisement et de tranquillité, une zone agréable de détente, c’est une zone de sécurité, qui fait partie des ressources à lui attribuer. Attention de bien choisir son emplacement qui est primordiale. Cela demande également de connaitre plusieurs positions exemples : panier, ta place, couché etc. Il existe plusieurs outils et méthodes, tous dans le respect de l’animal.
La marche en laisse : Cet apprentissage est indispensable : on voit trop de gens en situation dangereuse pour eux et leur chien lorsqu’il tire comme un fou et les ferait tomber au sol. Pour apprendre la marche en laisse, il est nécessaire d’associer une émotion agréable aux sorties. Si le chien a peur de sortir dans la rue, l’apprentissage de la marche en laisse s’en trouve biaisée. Il convient d’habituer le chien au port du collier et d’une laisse appropriée avant les premières sorties. Les mauvais outils sont les laisses enrouleuses, qui n’envoient aucune information lisible au chien, et les colliers inadaptés, trop lourds, trop grands, ou trop serrés. On peut utiliser un coller plat en nylon à boucle, qui permet une meilleure sécurité que les colliers à clips. Il convient de bien faire son choix en fonction du format du chien ou chiot. Le harnais ne permet pas une réceptivité importante des informations tactiles, et donne des mauvais comportements et donne des liaisons et dommages articulaires, le harnais et conçu pour la traction donc le travail et non pour nos chiens des villes. Pour la laisse c’est pareil, une laisse adaptée est primordiale donc une laisse en nylon entre 1.50 à 2 mètres est idéale, cela permet de laisser le chien en laisse d’explorer son environnement par l’allongement possible de la laisse, toujours une marche en laisse détendu, agréable et positif pour le chien et surtout le chiot. La laisse est un outil de sécurité en ville. Une éducation de son chien et de son chiot doit être appris de la bonne manière et le plutôt possible.
Le rappel : Le rappel est souvent le parent pauvre des apprentissages. Le chien est vite taxé de têtu (il n’écoute pas !) alors que bien souvent des erreurs simples mais fatales ont été produites par le maître par manque de compréhension des réponses du chien et manque de patience. Cet apprentissage doit être le premier à être en place parce qu’il est automatique dès l’instant que le chien ou le chiot, qu’il commence à construire un lien affectif solide avec sa famille. Le chiot est doué de curiosité et de motivation au jeu, ce qui doit être mis à profit immédiatement. Il faut profiter de cet apprentissage pour lui apprendre son nom. Un apprentissage qui demande de la patience et motivation, plusieurs manières peut être mis en place pour la réussite de votre chiot.
Le assis : Le assis est un apprentissage indispensable que l’on devrait apprendre à tout chien dès son plus jeune âge. Car cela permet de mettre un chien au calme, sous contrôle surtout quant ils sont chiots. C’est la première posture à apprendre à son chien, comme une formule de politesse. On peut l’utiliser pour éviter, qu’il saute sur les invités, il ne s’élance plus sur le facteur, il ne fonce plus sur ses congénères. Il n’est plus l’animal fougueux, incontrôlable que l’on doit retenir de force par le collier ou être obliger de l’enfermer dans une pièce. C’est un apprentissage qui est très utile pour des situations multiples. L’apprentissage doit être par incitation douce puis renforcement du comportement par une caresse.
Le couché : L’apprentissage du couché tient des mêmes principes que celui du assis. Il faut construire une association entre la mise en position couché et le mot couché, puis une deuxième association entre la réponse couchée au mot prononcé et une conséquence agréable. Faire coucher un chien peut servir n’importe où, pas seulement pour l’envoyer à son panier, mais en différentes circonstances, soins, manipulations, ou pour l’empêcher de sauter sur les gens ou bondir vers quelqu’un. Ce sont des apprentissages qui doivent pouvoir être efficaces en toute circonstance.
La tenue de place : Il s’agit d’apprendre au chien à s’immobiliser en position assis, couché ou en position debout, sans bouger, même lorsque le maître s’éloigne. Cet apprentissage est très utile pour apprendre ensuite au chien à ne pas être trop dépendant de la proximité du maître. La tenue de place nécessite que le chien ait appris préalablement les ordres assis, ou couché. On apprend ainsi au chien à s’immobiliser quoi qu’il arrive dans son environnement, et à canaliser ses comportements et sa fougue naturelle. C’est un excellent exercice pour stimuler le contrôle moteur et limiter l’impulsivité.
La promenade avec un suivi du chien sans laisse : Comme pour le rappel, le suivi naturel est facile avec un jeune chiot qui va suivre naturellement son maître. Il faut avoir nouer un lien de confiance et une familiarisation solide. Dehors, le chiot s’intéresse à tout autre chose que son maître. Au maître d’être plus attractif que l’environnement. Il faut donc commencer dans un lieu peu attrayant. L’erreur est de vouloir le rappeler sans cesse. Le chien flaire et explore autour de lui. Ne pas l’appeler. C’est à lui à ne pas perdre son maître. Bien sûr, il vaut mieux garder un œil sur lui. Pour sa sécurité, on peut lui accrocher une longe de 10 à 15 mètres qui lui donnera l’illusion d’être sans laisse. Le chien doit être plus attiré par la proximité du maître que par une odeur qui l’entrainerait loin de vous et le mettre éventuellement en danger. Il existe plusieurs outils et méthodes pour avoir une promenade en toute sécurité et agréable en harmonie avec sa nature canine.
Le rapport d’objets : Le rapport d’objets s’inscrit dans un cadre ludique. Il faut profiter de l’intérêt pour le jeu et de la curiosité d’un chiot pour lui apprendre à rapporter par exemple sa balle. Par ailleurs, lui apprendre à rapporter et à lâcher l’objet devant vous va stimuler son contrôle moteur par le maintien d’une attention particulière portée au maître et à sa réponse qui est de relancer la balle ou objet. Il s’agit d’un apprentissage complexe car plusieurs ordres sont donnés successivement : d’abord « rapport » quant on lance la balle, puis « lâche » quand le chien revient avec la balle, puis relancer la balle etc. Mais, attention que ce jeu ne devienne pas une obsession du chien et de perdre le contrôle, ou que le chien ne vous rend pas la balle, pour que vous le courait après, il faut rompre le jeu.
L’envoi du chien à son couchage : Il est nécessaire de pouvoir écarter le chien des activités humaines, lorsque l’on a des invités par exemple ou tout simplement pour être tranquille. Mettre le chien à distance ne consiste pas à l’enfermer dans une pièce. Une porte fermée n’est pas un interdit, c’est une solution matérielle à un problème humain. Par ailleurs, le chien doit acquérir une autonomie d’action et de motivation et s’affranchir de l’ombre de son maître. Il est indispensable de pouvoir le renvoyer à une certaine distance de soi, mais où ? Le chien possède un lieu de couchage qui est une zone d’apaisement et de tranquillité, une zone agréable de détente, c’est une zone de sécurité, qui fait partie des ressources à lui attribuer. Attention de bien choisir son emplacement qui est primordiale. Cela demande également de connaitre plusieurs positions exemples : panier, ta place, couché etc. Il existe plusieurs outils et méthodes, tous dans le respect de l’animal.
Nos méthodes de cours d’éducation canine positives sont sans douleur, sans violence et sans rapport de force. Nous n’utilisons PAS de colliers étrangleurs, de colliers antichocs, de colliers vaporisateurs ou de colliers à broches, qui sont pour moi barbare. Nous vous apprendrons un système de communication que votre chien connaît déjà, basé sur la communication canine. Vous apprendrez à utiliser votre langage corporel et vos tonalités vocales pour que votre chien se concentre et vous respecte. Vous pouvez apprendre à enseigner à votre chien des comportements qui sont et ne sont pas acceptables, en laisse et sans laisse par exemples, à votre domicile, au parc ou pratiquement n’importe où.
Pourquoi Attendre ?
Lancez-vous, et préparez-vous à vous amuser, vous et votre chien !
Lancez-vous, et préparez-vous à vous amuser, vous et votre chien !